En effet, le mercredi 13 octobre, M. Zerghdar, ministre de l’Industrie, a procédé à l’installation d’un Comité interministriel qu’il préside, pour suivre tous les projets d’investissements au nombre de 224 identifiés comme achevés, mais qui ne sont pas entrés en exploitation.
M. Zerghdar fait un point d’honneur d’accélérer le traitement et de donner le coup de starter à ces projets tenus, en veille, en levant toutes restrictions ou blocages pour différentes raisons qui ne dépendent pas forcément de son département, liées notamment à l’aménagement des zones industrielles et des zones d’activité, les travaux de liaison avec les réseaux électricité, gaz et eau ainsi que le retard enregistré dans l’obtention des licences administratives, a tenu à le préciser à l’Economiste. A la question récurrente du dossier automobile, le ministre nous précise qu’il n’écarte pas la possibilité de construire une industrie automobile au sens propre du mot qui sera tournée vers les nouvelles technologies, à savoir commencer par l’hybride, ensuite passer à l’électrique avec le concours des pays partenaires qui sont en avance dans le domaine.