La conférence nationale sur la relance industrielle, qui a débuté ses travaux samedi à Alger, sous la présidence du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, et lors de son allocution, se montrant déterminant et ambitionne de mobiliser les compétences nationales, pour booster la croissance de l’industrie et l’économie nationale. Dans cette optique, le premier magistrat du pays, a ordonné de prendre plusieurs étapes concrètes et urgentes en vue d’opérer une véritable « révolution industrielle » et augmenter la contribution de l’industrie à l’économie nationale, tout en œuvrant à l’aplanissement de tous les obstacles bureaucratiques, à l’effet de rapprocher l’administration de l’investisseur. Précisant, sans détour que la bureaucratie est un crime contre l’économie, comme l’entrave des projets prêts à être lancé,perpétré par des personnes qui défendent des intérêts douteux avec des calculs politiciens. Plus explicite, M.A. Tebboune, a fait savoir « qu’Il est inconcevable de geler des projets faute d’autorisations administratives malgré la mobilisation de milliards pour leur réalisation, c’est là un comportement antipatriotique ». Le projet du président, est non seulement d’augmenter la contribution de l’industrie au PIB de 10, qui n’est selon lui, pas difficile à atteindre avec des efforts raisonnables, mais d’opérer une révolution industrielle avec un taux de 15%.