Auteur/autrice : champions
L’Algérie s’oriente vers l’ouverture de banques à l’étranger, en Europe et en Afrique, pour permettre aux expatriés de la communauté de déposer ou de transférer leur argent et de payer des échanges commerciaux ; une procédure qui contribuera de manière significative à attirer les investissements et à augmenter la croissance économique. Le système bancaire algérien souffre de nombreuses carences qui affectent négativement son niveau de performance, dont le manque de qualification, retard dans l’utilisation des moyens de paiement modernes numérisés (banque électronique), problématique dans le respect des normes prudentielles mondiales, notamment celles de Bâle, focalisation sur le financement du commerce…
Il est évident qu’on ne pouvait négliger l’aspect de la réforme de la gouvernance des banques publiques au moment où le pays a décidé de s’engager dans la transformation de son modèle économique. La modernisation du système bancaire, une dimension stratégique des réformes structurelles globales du secteur financier, répond, en effet, à un objectif de mise en synergie des mécanismes nécessaires à l’émergence d’une véritable politique de croissance où la banque jouerait pleinement son rôle d’intermédiaire financier. Certes, les précédentes réformes ont opéré des mutations au niveau du secteur, mais ce dernier n’a pas atteint le niveau de performance requis,…
Propos recueillis par Karima Alilatene Cosider Group signe une croissance à deux chiffres en 2019, soit 15%, portant ainsi son chiffre d’affaires à 209 milliards de dinars. Une croissance soutenue grâce à la diversification des activités du Groupe et au dynamisme de quatre filiales travaillant en synergie avec d’autres de soutien sur les plus importants chantiers : la réalisation du métro, la fabrication et pose de pipes, la construction de logements et autres ouvrages d’art. En dépit de la conjoncture socio-économique que le pays traverse, accentuée en 2020 par la crise sanitaire mondiale, Cosider Group, une entreprise aux capitaux marchands…
L’Australien Perseus ssMining a réalisé une bonne performance en ce troisième trimestre 2020 en Côte d’Ivoire et au Ghana dans les mines d’or de Sissingué et Edikan ; une production évaluée à 68.772 onces, soit une hausse de 6% par rapport au trimestre précédent. La contribution des deux mines a été comme suit : Côte d’Ivoire (Sissingué) : 20.087 onces et Ghana (Edikan) : 39.685 onces. La production depuis le début de l’année jusqu’au mois d’octobre a atteint les 191.431 onces. Les prévisions de PerseusMining sont de 250.000 onces pour l’ensemble de l’année. Les ventes ont enregistré 147,4 millions de…
L’exportation du soja a permis au Togo de récolter une recette de plus de 50 milliards de FCFA (octobre 2019 à juillet 2020). Cette filière a permis de créer cette année 700.000 emplois permanents et temporaires. A noter que le Togo est actuellement numéro un mondial en termes d’exportation de soja bio vers l’UE.
En détrônant l’Espagne en 2019, l’Egypte confirme son leadership dans les exportations d’oranges en devançant les grands producteurs comme le Brésil, la Chine et les Etats-Unis sur le marché international des oranges. Sur les 3 millions de tonnes produites par l’Egypte, 1,87 million de tonnes sont exportées vers la Russie, la Hollande, l’Arabie saoudite et même la Chine. Pour rappel, en 2019, la valeur des exportations s’élevait à 660 millions de dollars US.
Le premier exportateur mondial de thé noir connaît en cette période de crise sanitaire due au coronavirus des difficultés à écouler samarchandise avec la baisse de la demande sur les principaux marchés d’exportation. Le thé, l’une des principales sources de recettes en devises, ainsi que le tourisme ne sont plus à leur meilleur jour depuis ces cinq derniers mois, mettant en difficulté l’économie kenyane. Les chiffres en provenance de ce pays montrent que les recettes des exportations du thé noir ont chuté de 1,3 milliard de shillings (13 millions de dollars). Les volumes entre janvier et mai sont de six…
Le marché unique intra-africain, prévu d’être actif par la mise en œuvre de la Zlecaf le 1er juillet 2020, est repoussé à une date ultérieure en raison, évoque-t-on, de la crise sanitaire mondiale due au coronavirus.Les échanges commerciaux intra-africains portés dans ce cadre multilatéral à l’échelle continentale, rappelons-le, par la création de la zone de libre-échange africaine (Zlecaf) devront attendre 2021, sans toutefois plus de précisions, note le quotidien El Moudjahid, faisant référence à l’information officialisée par le secrétaire général de la Zlecaf, Wanklé Mene, sur Africanews. La mise en place de la Zlecaf est censée ouvrir d’importantes perspectives pour…
Le secteur du médicament est à l’heure actuelle celui qui montre la voie aux autres acteurs de divers secteurs industriels en Algérie. Il se classe deuxième sur le continent après l’Afrique du Sud et premier dans le Maghreb. L’Algérie est en passe de planter son drapeau de hub pharmaceutique sur la carte de l’Afrique. L’ambition est grande et légitime lorsqu’on observe l’évolution enregistrée ces dix dernières années dans ce secteur. Une croissance de 10%, plus de 100 producteurs et environ 40 autres qui vont suivre qui sont dans l’attente d’autorisations ou d’agréments. Jusqu’à l’heure actuelle, l’Algérie a pu renverser la…
LPC AE a signé un protocole d’accord avec la société algérienne Naftal SPA, une filiale de la plus grande société pétrolière publique algérienne Sonatrach, pour créer une co-entreprise afin de construire une usine de mélange et de production d’huiles et de graisses pour les voitures, l’industrie et le transport maritime.La participation de LPC dans la joint-venture atteindra 49% et celle de Naftal SPA 51%. Le coût d’investissement pour la construction de l’usine d’une capacité de 55.000 tonnes métriques de lubrifiants et 5.000 tonnes métriques de graisse s’élèvera à environ 30 millions d’euros et sera financé par des fonds propres et…